lundi 4 avril 2011

Cinq définitions

Cette semaine, je vous présente  cinq définitions, écrites par moi-même, associées à cinq termes différents. Il s'agira donc de termes en lien avec mon futur lexique, qui portera, je vous le rappelle, sur l'iPhone d'Apple. En gras et en italique, vous retrouverez le terme alors que le sous-domaine sera entre parenthèses.

Contrôle vocal (Fonctions/Caractéristiques)
Fonction offerte sur l’iPhone permettant de commander, de vive voix, un numéro de téléphone, une chanson en particulier ou de demander le nom du morceau musical en cours.


FaceTime (Fonctions/Caractéristiques)
Fonction offerte (seulement à partir d’un iPhone 4) lors d’appels téléphoniques permettant de créer un appel vidéo, voyant à la fois son interlocuteur et soi-même.

iTunes (Logiciel iTunes)
[À partir d’un iPhone] Application offerte sur l’iPhone qui permet d’acheter des chansons ou des vidéos, que ce soit des nouveautés ou pas, et d’en écouter des extraits.
[À partir d’un ordinateur] Logiciel permettant, en mode liste, grille ou cover flow, de synchroniser et d’organiser la musique, les vidéos, et tout autre contenu présent dans l’iPhone.


Safari (Fonctions/Caractéristiques)
Safari est le navigateur Web par excellence sur l’iPhone, comparable à Windows Internet Explorer, par exemple.



Remote (Applications)
Application offerte dans l’App Store permettant de contrôler à distance, à l’aide de l’iPhone, le contenu disponible sur l’iTunes de son ordinateur ou sur son Apple TV.

vendredi 1 avril 2011

lundi 21 mars 2011

Fiche terminologique

domaines
Générique(s)
iPhone
Spécifique(s)
Logiciel iTunes
champs français
Terme principal
iTunes
Variante(s) en genre

Variante(s) graphique(s)

Abréviation(s)



Synonyme(s)
 Lecteur iTunes
Variante(s) en genre
 
Variante(s) graphique(s)

Abréviation(s)




Terme(s) à éviter

Variante(s) en genre

Variante(s) graphique(s)

Abréviation(s)


Définition
(À partir d’un iPhone) Application offerte sur l’iPhone qui permet d’acheter des chansons ou des vidéos et d’en écouter des extraits.
(À partir d’un ordinateur) Logiciel permettant, en mode liste, grille ou cover flow, de synchroniser et d’organiser la musique, les vidéos, et tout autre contenu présent dans l’iPhone.
Contexte(s)
iTunes permet de profiter de l'ensemble de votre musique, de vos films et séries TV sur votre Mac ou PC. Pour regarder ou écouter quelque chose, vous n'avez plus besoin de chercher dans vos CD ou faire défiler les chaînes. Il vous suffit d'ouvrir iTunes.

[Apple, http://www.apple.com/fr/itunes/what-is/]
Note(s)
iTunes est un programme offert à la fois sur un ordinateur, à la fois sur un iPhone. Le logiciel iTunes à partir de l’ordinateur est le principal, c’est-à-dire que c’est lui qui gère tout le contenu présent sur le téléphone. Il n’est donc pas possible d’effectuer, à partir de l’application iTunes sur le téléphone, les tâches que nous effectuons sur iTunes à partir de l’ordinateur.




Logiciel iTunes sur l'iPhone (Musique)


Logiciel iTunes sur l'iPhone (Vidéos)

lundi 7 mars 2011

Travail pratique #7

Suite à la lecture du document Réflexions et pratiques relatives à la variation topolectale en terminologie, publié par l'Office québécois de la langue française, en 2004, voici un résumé des quatres grands points traités.


Grands titres
Résumé






















I.            La prise en compte de la variation topolectale

1.    Un rappel historique
On dit que les auteurs des dictionnaires, à l'époque, avaient tendance à proposer une version uniforme de la langue, c'est-à-dire qu'ils ne prenaient pas compte des particularités du français. Donc, le français du Québec «a été généralement perçu et décrit comme une variété régionale du français.» L'Office québécois de la langue française partageait, dans les années 60, cette même opinion. Cependant, il disait s'enligner davantage vers le français dit international, qui correspond d'ailleurs au français de Paris. Les travaux terminologiques du Québec suivaient également ce principe.

C'est vers les années 80 que la variation géographique prend davantage son envol : «on constate une volonté accrue de valorisation des différentes variétés de français hors de France.»

2.    L’approche variationniste
«Des organismes de normalisation internationaux se sont prononcés en faveur de la reconnaissance de la variation géographique dans les travaux terminologiques unilingues français ou multilingues.» D'ailleurs, l'ISO et le Réseau panlatin de terminologie (Realiter) soutiennent cette approche, en vue de répondre plus adéquatement aux besoins terminologiques. Bref, l'approche variationniste se doit de concevoir des outils qui vont répondre aux besoins d'intercommunication du plus grand nombre de francophones possible.

3.    Les difficultés entourant la prise en compte de la variation topolectale
La valorisation de la diversité linguistique se fait de plus en plus sentir au sein des ouvrages linguistiques. On mentionne qu'il est cependant difficile de cerner correctement la variation géographique.

4.    Le marquage topolectal
La catégorie usage géographique est importante afin d’indiquer les différences d’emploi des divers termes. L’ISO suggère également que les termes soient identifiés à l’aide de symboles de pays. En bref, le marquage topolectal doit être souple afin que les termes puissent être utilisés ailleurs que dans sa géographie.

5.    L’importance du phénomène de la variation géographique
En terminologie, il faut que les termes provenant de différents endroits soient en harmonie. Il se doit également, même si ce n’est pas nécessairement le cas dans tous les ouvrages terminologiques, que les termes soient tout de même variés et d’actualité.

6.    Les cas de non-marquage
Les cas de non-marquage dépendent principalement «des objectifs poursuivis et du public visé». En fait, un terme qui serait utilisé ici, au Québec, dans un ouvrage terminologique québécois, n’aurait pas de marque topolectale. Dans le cas d’un néologisme, nous nous abstenons de mettre une marque topolectale pour que le terme se diffuse davantage rapidement.











II.         Les types de marquage topolectal
1.    Le marquage topolectal de terme
On dit que généralement, chaque terme reçoit un marquage topolectal indiquant l’endroit où ce terme est employé. Certains ouvrages utilisent les marquages géographiques abrégés, d’autres utilisent des codes alphabétiques.

2.    Le marquage topolectal conceptuel
Ce marquage «vise à décrire l’extension géographique d’un concept associé à des réalités politiques, administratives, socioéconomiques, matérielles et culturelles qui sont propres à un État, à un ensemble d’États, à un peuple ou à un territoire donné.»

3.    Le marquage intradéfinitionnel
Marqué au début de la définition ou dans le texte, ce type de marquage est utilisé lorsque «le concept renvoie nettement à une réalité propre à une communauté géopolitique.»












III.       La problématique de la variation topolectale en contexte de terminologie multilingue
1.    La présentation d’ouvrages terminologiques multilingues : choix de la langue
Habituellement, au Québec, les résultats de recherches sont présentés de l’anglais (langue source) vers le français (langue cible), tout dépendamment du produit terminologique que nous voulons obtenir.

2.    L’article terminologique : choix du terme principal dans une langue et ordre d’apparition des équivalents dans d’autres langues
«Pour chacune des langues en cause, le choix du terme principal obéit aux mêmes règles que dans le cadre de travaux terminologiques unilingues.»

3.    La présentation des synonymes par langue et présentation des marques topolectales
Plusieurs facteurs influencent le fait d’ajouter des synonymes au terme présenté (vitalité, aire géographique de son emploi, etc.). Ce choix est donc propre à l’auteur.





IV.        Conclusion
Le but des types de marquage topolectal est sans aucun doute, de faciliter la tâche aux utilisateurs. Il ne faut pas que ces marques soient définitives, étant donné que la langue est en constante évolution. C’est également «un moyen de souligner positivement la richesse lexicale d’une langue telle qu’elle se manifeste dans ses différentes variétés.»



vendredi 4 mars 2011

Travail pratique #6

#1 : Comment désigner la personne qui tire une partie substantielle de son revenu des pourboires laissés par la clientèle ?
Domaines : appellations d’emploi, fiscalité

Nous ne pouvons, dans ce cas, dialoguer avec le client ni faire le contrôle notionnel puisque nous ne connaissons pas le client. L’aide d’un spécialiste nous serait inutile puisque les notions sont bien définies. On peut donc, par nous-mêmes, en ressortir quelques mots-clés : personne, revenu, pourboires, clientèle.
Avec ses informations et à l’aide du Grand Dictionnaire Terminologique (GDT), nous pouvons constater que le terme exact que recherche cette personne est un employé au pourboire.

#2 : Comment désigner en français le compact disk, disque à gravure numérique avec utilisation du laser pour la gravure et la lecture, ce qui permet de concentrer beaucoup d’informations sur une très petite surface?
Domaine : audiovisuel

Étant donné que nous avons beaucoup d’informations dans cette question, il est possible pour nous de trouver ce que la personne en question recherche. Nous n’avons qu’à rechercher l’équivalent français des termes compact disk au sein du Grand Dictionnaire Terminologique.
Celui-ci nous dit que compact disk (CD) peut également être écrit comme ceci en anglais : compact disc. Également, en français, nous pouvons utiliser disque compact, compact ou DC.

#3 : Trouver un équivalent français pour door hanger : affichette rectangulaire, terminée par un cercle ouvert, qu’on peut fixer aux poignées des portes.
Domaine : publicité

Encore une fois, dans le GDT, le terme door hanger désigne une affichette de porte, l’équivalent français.

#4 : Que penser du terme billet promissoire pour rendre promissory note : promesse faite par écrit à une personne par laquelle on s’engage à payer sur demande ou dans un délai fixé une somme d’argent convenue.
Domaine : droit

Lorsque nous recherchons le terme billet promissoire dans le GDT, celui-ci nous indique que ce terme est à éviter. Il serait davantage correct d’utiliser billet à ordre, pour désigner promissory note.

#5 : Trouver un équivalent français pour talk-show : émission comportant des éléments de variétés (chansons, exécutions musicales, numéros de music-hall, etc.) entrecoupés d’interviews de personnes mêlées à l’actualité, où un animateur vedette fait fonction de présentateur.
Domaine : radiotélévision

Dans le Grand Dictionnaire Terminologique, on nous propose d’utiliser le mot féminin interview-variétés pour désigner l’équivalent du terme talk-show.

#6 : Trouver un équivalent français pour tie-in ad : annonce payée par un annonceur principal auquel s’associent des annonceurs secondaires.
Domaine : publicité

Le terme tie-in ad désigne plus précisément tie-in advertisement. Le GDT nous propose donc d’utiliser le terme annonce collective en français.

#7 : Trouver un équivalent anglais pour diagnostic : jugement que porte l’évaluateur d’entreprise sur l’état de santé d’une entreprise en faisant état de ses points forts et de ses points faibles.
Domaine : évaluation d’entreprise

Au sein du Grand Dictionnaire Terminologique, le terme diagnosis est l’équivalent anglais du terme diagnostic.

#8 : Trouver un équivalent français pour mountain bike : bicyclette caractérisée par des éléments surdimensionnés, un changement de vitesses à faibles rapports et des pneus plus larges que la normale.
Domaines : sport, loisir

L’équivalent français que propose le GDT est sans aucun doute le terme vélo de montagne.
                                       
#9 : Trouver un équivalent français pour goodwill : excédent de la valeur d’une entreprise sur la somme des valeurs attribuées aux éléments identifiables de son actif net.
Domaine : évaluation d’entreprise

Dans le GDT, on propose fonds commercial pour désigner le terme anglais goodwill. Cependant, il précise qu’«au Canada, on utilise souvent le terme achalandage pour rendre le terme anglais goodwill même si, par définition, l'achalandage ne désigne que l'ensemble de la clientèle attirée par l'emplacement d'une entreprise. En France et en Belgique, on emploie fréquemment le terme anglais goodwill qui fait inutilement concurrence aux termes français déjà en usage.»

#10 : Trouver un équivalent anglais pour émission cadre : émission regroupant des éléments appartenant à des genres divers, mais qui peuvent changer d’une semaine à l’autre; par exemple, Les Beaux Dimanches.
Domaine: radiotélévision

Le terme émission cadre n’apparaît pas au sein du Grand Dictionnaire Terminologique. J’ai donc recherché émission seulement. Cela m’a donc transféré vers program, qui avait comme sous-entrée, le terme broadcast. Ce dernier désigne une diffusion générale en français.

vendredi 18 février 2011

Arbre de domaines

Tout comme mentionné précédemment, je vous présente le début de mon arbre de domaines.

Qui n'a pas remarqué que la téléphonie cellulaire fait partie du quotidien de la majorité des Québécois ? En effet, c'est une réalité très présente, plus particulièrement en ce qui concerne l'utilisation des téléphones intelligents (smartphones). Dans mon lexique final, je voudrais donc établir une minime partie des termes (puisqu'il en existe des milliers !) s'associant au fameux Iphone de Apple. Celui-ci serait éventuellement divisé en trois sous-catégories : les fonctions et caractéristiques reliées à ce téléphone, quelques termes en lien avec les diverses applications offertes ainsi qu'avec le logiciel Itunes.